Direction Düsseldorf, puis Narita !

Pour être honnête avec vous, le voyage a un peu commencé n’importe comment. J’ai largement sous-estimé le temps nécessaire pour les derniers préparatifs, à savoir : vérification des bagages, ménage, vidage du frigo, nettoyage de l’appartement, vérification et nettoyage des cartes mémoire. Bref, si on rajoute à ça l’écriture du dernier article, tout ça prend bien une bonne nuit blanche ! Rien, de bien méchant, j’aurai le temps du trajet pour récupérer de toutes façons.

Et c’est le moment du point météo :

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Après avoir fait tout ça, direction l’aéroport via ce cher RER avec mes deux sacs à dos et ma petite sacoche. L’avantage de partir à 5h du matin est que ça roule plutôt bien. À l’aéroport, il faut compter une bonne heure pour enregistrer mon bagage (on en reparlera du bagage…), puis une petite demi-heure pour la sécurité. Du coup, rien de trop après ça j’embarque directement dans l’avion pour Düsseldorf sans plus attendre.

Le confort est minimal avec Germanwings mais c’est bien suffisant pour une petite heure de vol après quoi une petite escale de 10h m’attend.

L’avantage de Düsseldorf est que l’aéroport est à 20 minutes du centre-ville. Donc plutôt que de dormir à l’aéroport, autant en profiter pour faire un peu de tourisme ! Et puis ça tombe bien, j’ai justement des amis là-bas, le hasard fait tellement bien les choses !

L’inconvénient de Düsseldorf, c’est ça :

IMG_1795Malgré ça j’ai pu visiter le coin, je connaissais un peu mais par je ne savais pas qu’il y avait quelque-chose comme un temple japonais authentique à Düsseldorf. Il faut dire que la communauté japonaise est particulièrement importante là-bas.

[illustrations à venir]

Ensuite, déjeuner japonais pour se mettre dans l’ambiance, une petite sieste et en route pour l’aéroport de Tokyo – Narita. Pour ça j’ai prévu un peu d’avance donc comme je n’ai pas eu de souci et que la sécurité a pris au moins 5 bonnes minutes j’attends tranquillement l’embarquement.

L’embarquement se déroule sans encombre, je m’installe bien. ANA m’offre des mini-chaussons idéal pour les voyages car ils ne prennent pas de place. Le siège est confortable, il y a une prise USB pour charger mon téléphone (mais pas mon ordinateur, mais il a quand même tenu le voyage). Le choix des films a l’air pas mal mais je m’en fiche, puisque je vais plutôt profiter du trajet pour dormir et travailler un peu. Je fouille quand même, et il y a bien deux ou trois films japonais que j’aurai bien regardé. Aux hublots les rideaux sont remplacés par des vitre à teinte variable. Du coup je joue un peu avec : je m’amuse bien !

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En ce qui concerne les repas, j’ai été agréablement surpris. Après avoir vu les menus, ça me paraissait assez moyen, mais finalement c’était très bon et la petite glace donnée à la fin ne gâte rien. Les hôtesses me proposent même des boissons alcoolisées gratuitement. C’est à ce moment là que je me suis rendu compte que j’avais été en fait surclassé…

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Pour dormir, en plus des chaussons, j’ai droit à une couverture et un petit oreiller. Tout est parfait, et j’arrive à Tokyo sans encombres.

Enfin, la douane prend quand même une bonne demi-heure et il fait très chaud à la sortie de l’avion le temps de rejoindre l’aéroport climatisé. Je n’étais pas habitué à ça. Mais il faut dire que la dernière fois que j’ai voyagé pour le japon, le pays était déserté des touristes donc forcément, ça explique la différence à la douane…

Et puis surtout, à la sortie de l’avion, je suis appelé et attendu par une hôtesse qui m’explique que mon bagage n’est peut-être pas arrivé à Narita. En fait à ce moment là, le peut-être est un peu inquiétant car ce que je comprend, c’est que mon bagage est perdu et que personne ne sait où il est.

Je suis donc invité à vérifier que mon bagage n’est pas sur le tapis. Petite lueur d’espoir, mais non, rien sur le tapis. Je rend donc visite au comptoir bagage, qui m’explique qu’ils ne savent effectivement pas où est mon bagage mais qu’il est probablement resté en transit (a priori, puisqu’il a été scanné là-bas, sans plus d’information à ce moment-là). Comme quoi, même après 10h transit, le bagage peut quand même rater son vol…

Je leur demande de me livrer mon bagage deux jours plus tard à Hirosaki, en espérant qu’il arrive à temps, car je ne reste là-bas qu’une seule nuit.

C’est ennuyeux parce que dedans il y avait ce que je devais porter le lendemain pour le mariage de mes amis à Nagoya…

 

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