J’arrive dans dans mon hôtel situé sur la station de Zao-onsen à 30 km de Yamagata en haut de la montagne. Le cadre est assez pittoresque et rien que pour cette raison, cela valait bien le déplacement. Je dîne rapidement et je tâche de dormir un peu.

Le lendemain. je m’apprête à partir pour Yamagata afin de rejoindre Sendai par le train. Comme j’avais fait pour la veille, le plan est qu’un employé de l’hôtel m’emmène en voiture jusqu’à la station de bus de Zao-onsen. De là je prend le bus pour Yamagata, où je change pour Sendai.
Seulement, en descendant vers la station de bus, je discute un peu avec l’employé. Lorsqu’il apprend que je rejoins Sendai aujourd’hui, il arrête la voiture, et me dit qu’il va m’emmener à Matsushima, un des trois plus beau site du Japon en voiture, où je pourrais ensuite rejoindre Sendai par le train en trois quart d’heure.
La proposition est très intéressante, donc j’accepte sans hésitation et nous faisons demi-tour pour l’hôtel, d’où nous repartons quelques minutes plus tard pour Matsushima.
Une fois arrivé là-bas, nous nous disons au revoir puis je cherche un plan pour poser mes bagages. Selon ses informations, il y a une consigne près du port donc je me rend là-bas. Je me fais accoster par quelqu’un qui vend des tours d’une heure de bateau au milieu des îles. Comme le tarif me semble acceptable et qu’il me propose de conserver mon bagage gratuitement, j’accepte sa proposition.
Je visite ensuite le temple Zuigan-ji. Ce temple est énorme, c’est assez impressionant.
Puis je mange un gyutan (langue de bœuf), la spécialité locale.
Ensuite, un petit tour en mer.
Puis je me rend en train à Sendai. Je vais directement à mon auberge pour poser mes bagages en passant par la rue commerçante couverte de décorations géantes. C’est également impressionnant !
Le soir j’assiste aux événements prévus pour Tanabata. Il y a des concerts, mais le plus intéressant est sans doute l’ambiance et les stands où l’ont trouve principalement à manger mais aussi des jeux, comme là pêche aux canard ou du tir à la carabine.
Alors que je repartais vers l’auberge on me demande d’écrire un vœu qu’il faut ensuite accrocher à l’arbre à vœu, je me suis donc volontiers plié à la tradition.












